Problème(s) inexpliqué(s)
Publié : 25 mai 2013 13:11
Bonjour,
Max, 27 ans, de belgique. C'est la première fois que je poste/vais sur un forum relatif au domaine médical, donc je ne sais pas trop comment cela se passe. On sait jamais que quelqu'un a la même chose. Je suis, qui plus est , complétement perdu face à cela. Je ne sais plus vraiment quoi faire, qui voir. Pour mes antécédents, hormis un fort terrain allergique, il n'y a rien.
Je souffre, depuis maintenant presque 2 ans, de différents problèmes de santé dont la cause reste inexpliquée. Tous les symptômes s'ajoutent et jamais aucun n'a diminué d'intensité ou s'est supprimé. Tous ont débuté de manière prompte, sans signes avant coureurs, et se situent à droite, un peu comme si on avait séparé mon corps en deux.
Voici ce qui se passe :
Début fin juin 2011 : Difficulté à respirer profondément. Après différents examens, mes poumons sont en bon état.
En même temps, je remarque que mon bras gauche s'endort dans certaines positions. Il aura fallu plus d'un an, et différents médecins, pour qu'il y en ai un qui l'ausculte, et qui me dise que j'ai une compression vasculo nerveuse au niveau des cervicales gauches. Mais cela n'aurait rien à voir avec le reste de mes problèmes.
Arrêt de la cigarette en juillet 2012, car je pensais que mon problème de respiration était lié, mais non.
Arrêt paroxetine en août 2012. Un peu marre de prendre ce médoc qui ne changeait rien et que je ne supportais plus (fortes douleurs aux yeux et à la tête).
A partir d'octobre 2012 : Ventre, paupière, gorge, mâchoire, anus, pénis, côté droit beaucoup moins voir plus du tout sensible. Progressivement sur plusieurs semaines. En permanence depuis.
Mi novembre 2012 : Problème urologique. 'Faux' besoins de toujours uriner. Cela me lance dans la verge et toute la région urologique (périnée je pense).
01/2013 Yeux piquent, comme lors d’une fatigue (comme après avoir passé la journée devant un écran). Ne grattent pas. Origine allergique d'après l'allergologue, mais ses médocs n'ont rien changé. A voir quand la saison sera passée.
04/2013 Faiblesse dans bras et jambes. Comme plus de force. Cœur bat fort dans la poitrine. Mon bras gauche s'endort de plus en plus du coude au petit doigt.
Hormis le problème urologique qui a commencé en pleine nuit, pour le reste je ne m'en rendais compte que le matin ou au fur et à mesure des activités de la journée.
Au début, le médecin me disait que c'était des angoisses. Je me demande bien lesquelles, moi qui ne suis habituellement pas de nature stressée ou angoissée. Quoiqu'il en soit, il m'a prescrit plusieurs médocs pour calmer, qui n'ont eu pour effets que m'endormir.
J'ai été voir quelques psychiatres, qui me disent que oui, je ne suis plus très bien moralement, mais c'est la conséquence de ce qui arrive et non la cause.
Les choses se sont compliquées quand les autres problèmes sont arrivés.
Niveau urologique (celui qui m'handicape le plus), l'on m'a diagnostiqué à peu près tout ce qui est possible, et après traitement, rien ne s'est avéré vrai. Cystite, urétrite, prostatite, névralgie pudendale (deux infiltrations du nerf n'ont rien changé).
Je ne cache pas que mon moral depuis 6 mois est au plus bas (au début, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait car je n'avais jamais eu de tristesse ou fait de la déprime, dans les années passées).
Le généraliste semble en avoir marre, et moi encore plus. Le plus embêtant est que c'est lui qui est censé me guider, m'orienter s'il ne sait pas me dire ce que j'ai.
Voilà un peu mon histoire, de ces deux dernières années.
merci de votre attention
max
Max, 27 ans, de belgique. C'est la première fois que je poste/vais sur un forum relatif au domaine médical, donc je ne sais pas trop comment cela se passe. On sait jamais que quelqu'un a la même chose. Je suis, qui plus est , complétement perdu face à cela. Je ne sais plus vraiment quoi faire, qui voir. Pour mes antécédents, hormis un fort terrain allergique, il n'y a rien.
Je souffre, depuis maintenant presque 2 ans, de différents problèmes de santé dont la cause reste inexpliquée. Tous les symptômes s'ajoutent et jamais aucun n'a diminué d'intensité ou s'est supprimé. Tous ont débuté de manière prompte, sans signes avant coureurs, et se situent à droite, un peu comme si on avait séparé mon corps en deux.
Voici ce qui se passe :
Début fin juin 2011 : Difficulté à respirer profondément. Après différents examens, mes poumons sont en bon état.
En même temps, je remarque que mon bras gauche s'endort dans certaines positions. Il aura fallu plus d'un an, et différents médecins, pour qu'il y en ai un qui l'ausculte, et qui me dise que j'ai une compression vasculo nerveuse au niveau des cervicales gauches. Mais cela n'aurait rien à voir avec le reste de mes problèmes.
Arrêt de la cigarette en juillet 2012, car je pensais que mon problème de respiration était lié, mais non.
Arrêt paroxetine en août 2012. Un peu marre de prendre ce médoc qui ne changeait rien et que je ne supportais plus (fortes douleurs aux yeux et à la tête).
A partir d'octobre 2012 : Ventre, paupière, gorge, mâchoire, anus, pénis, côté droit beaucoup moins voir plus du tout sensible. Progressivement sur plusieurs semaines. En permanence depuis.
Mi novembre 2012 : Problème urologique. 'Faux' besoins de toujours uriner. Cela me lance dans la verge et toute la région urologique (périnée je pense).
01/2013 Yeux piquent, comme lors d’une fatigue (comme après avoir passé la journée devant un écran). Ne grattent pas. Origine allergique d'après l'allergologue, mais ses médocs n'ont rien changé. A voir quand la saison sera passée.
04/2013 Faiblesse dans bras et jambes. Comme plus de force. Cœur bat fort dans la poitrine. Mon bras gauche s'endort de plus en plus du coude au petit doigt.
Hormis le problème urologique qui a commencé en pleine nuit, pour le reste je ne m'en rendais compte que le matin ou au fur et à mesure des activités de la journée.
Au début, le médecin me disait que c'était des angoisses. Je me demande bien lesquelles, moi qui ne suis habituellement pas de nature stressée ou angoissée. Quoiqu'il en soit, il m'a prescrit plusieurs médocs pour calmer, qui n'ont eu pour effets que m'endormir.
J'ai été voir quelques psychiatres, qui me disent que oui, je ne suis plus très bien moralement, mais c'est la conséquence de ce qui arrive et non la cause.
Les choses se sont compliquées quand les autres problèmes sont arrivés.
Niveau urologique (celui qui m'handicape le plus), l'on m'a diagnostiqué à peu près tout ce qui est possible, et après traitement, rien ne s'est avéré vrai. Cystite, urétrite, prostatite, névralgie pudendale (deux infiltrations du nerf n'ont rien changé).
Je ne cache pas que mon moral depuis 6 mois est au plus bas (au début, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait car je n'avais jamais eu de tristesse ou fait de la déprime, dans les années passées).
Le généraliste semble en avoir marre, et moi encore plus. Le plus embêtant est que c'est lui qui est censé me guider, m'orienter s'il ne sait pas me dire ce que j'ai.
Voilà un peu mon histoire, de ces deux dernières années.
merci de votre attention
max