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Problème de constipation devenu quasi-constant

chabiroux
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Inscription : 13 sept. 2017 17:19
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Problème de constipation devenu quasi-constant

Message par chabiroux »

Bonjour à tous et toutes.
Je voudrais raconter ici le calvaire par lequel passe ma femme depuis plusieurs années maintenant, en essayant de me rappeler de toute son histoire médicale. Elle souffre d'un problème centré autour de troubles de la digestion (mais en vérité beaucoup plus vaste) depuis plusieurs années. Cette maladie n'a jamais été diagnostiquée, et son état empire, lui rendant la vie de plus en plus difficile. Elle pense arrêter de travailler pour se consacrer à sa santé. Je vais exposer tout cela, en essayant de montrer l'évolution.

Symptômes
Quand je l'ai rencontrée, en 2006-7, elle était en parfaite santé (elle avait 20 ans). Je précise qu'elle a de lourds antécédents de diabète dans la famille (père, grands-parents paternels), mais pas vraiment de problèmes intestinaux (sa grand-mère, peut-être, il y a quelques années).
Ses problèmes ont commencé en 2009, pendant une année assez difficile sur le plan universitaire (master), administratif (on lui a refusé un visa) et médical (douleurs au niveau du rein droit, mais que les médecins n'ont pas pu diagnostiquer). Tout semble s'être déclenché au moment du refus de visa, et l'année qui a suivi a été difficile, là encore pour des raisons administratives (liées à l'université).
Depuis, ses problèmes de rein ont disparu, mais s'est installé progressivement un problème de constipation. Y a-t-il eu une période de pause entre les deux ? Je ne me souviens plus.
En tout cas, début 2014, elle a décidé d'arrêter la pilule après 6 ans de prise, pensant que ça pouvait avoir un rapport avec ses problèmes (qui ont commencé à ce moment-là à devenir sérieux pour moi, c'est pour cela que je me souviens de la date). On lui a diagnostiqué un problème de hernie au niveau de l'estomac. Elle a commencé à souffrir d'acné (elle qui n'en avait jamais eu), de règles douloureuses, irrégulières et abondantes (ça n'avait jamais été le cas), de constipation, de problèmes de concentration (là encore, nouveau symptôme), de fatigue, etc.
Elle a dû voir depuis trois ans une trentaine de médecins de tous les types : gastro-entérologues, gynécos, internistes, généralistes, homéopathes, ostéopathes, néphrologues, et j'en passe, pour entendre à chaque fois les réponses que vous connaissez tous et toutes : "c'est le stress", "bah, vous exagérez", "buvez plus d'eau", "allez voir un psy", "faites du yoga".
Elle a bouffé tous les types de médicaments, suivi tous les trucs de grand-mère, pris des compléments alimentaires à 500 € le mois et non remboursés, des trucs homéopathiques, des fibres naturelles, du psyllium, de l'huile de paraffine, des pruneaux, des compléments en magnésium, des laxatifs naturels/chimiques, mangé moins de fruits, mangé plus de fruits, bu moins d'eau, bu plus d'eau, etc., etc., etc. Elle a essentiellement pris des produits naturels ou homéopathiques. Sans y croire d'ailleurs, simplement parce qu'il fallait prendre quelque chose et qu'on ne lui proposait rien d'autre.
On lui a diagnostiqué la candidose (à tous les étages, vaginale, buccale, dans tout le tube digestif), qu'elle a traitée à coups de médicaments, de trucs à insérer dans le vagin, de régimes, et qui est toujours revenue. On lui a aussi diagnostiqué une intolérance au lactose.
Elle a suivi de nouveaux régimes : pendant un temps sans oeuf, puis elle a repris, le régime sans gluten (amélioration qui a duré un mois, avant que tout ne reprenne, mais elle a n'a pas repris), le régime sans sucre (ni fruits, ni pâtes, ni pain, ni farine, ni riz, ni patates, ni féculents, pendant plusieurs mois), elle a arrêté les champignons, le lactose, le gluten. De toute façon, elle ne mange plus grand-chose.
Récemment, elle a commencé à prendre un médicament (Natrum muriatricum), prescrit deux fois par mois par son médecin, à base de sel, qui lui a débloqué les intestins (en tout cas, les deux premières fois, pas la troisième), mais a semble-t-il provoqué des effets non désirés au niveau des reins. En tout cas, des sensations lui venues dans le rein, pas des douleurs mais le sentiment que quelque chose s'y passait. Mais on ne lui a rien diagnostiqué non plus de ce côté-là.
Pendant un temps, les bains chauds apaisaient la douleur. Ce n'est plus le cas.
On a testé sa thyroïde, mais les résultats ne sont pas très probants, bien qu'on observe une baisse de TSH (légère). Elle a aussi des problèmes de pertes de cheveux ou d'ongles cassants, qui sont assez caractéristiques de l'hypothyroïdie. On lui a d'ailleurs diagnostiqué un Hashimoto, mais peut-être est-ce un autre type d'hypothyroïdie ? Elle voudrait commencer bientôt un traitement pour la thyroïde, mais elle attend d'être sûre d'avoir identifié le problème. Une énième doctoresse avait souscrit à cette lecture, et expliqué que ses problèmes de fatigue étaient dus à la surmobilisation de son système hormonal (surproduction d'hormones inefficaces), qui puisaient dans ses réserves. Elle est donc passée à de la micronutrition, qui au vu du prix (non remboursé) et de l'absence d'effets a paru être un peu une arnaque.
Pour finir, je voudrais parler de ses symptômes au niveau de la constipation. En temps "normal", elle passe trois ou quatre heures assises sur une chaise à enchaîner les cafés (elle doit en boire deux ou trois) et à passer aux toilettes (en urgence !), pour que le tout se vide. Sa constipation s'est aggravée depuis quelques semaines, où elle vit en situation de crise permanente (de blocage). Elle boit encore plus de café (4 ? 5 ?), mais rien n'y fait. Elle évite de prendre des laxatifs "durs" (forts), pour éviter l'accoutumance, mais doit y céder plusieurs fois par mois. Elle constate d'ailleurs déjà une baisse de l'effet des laxatifs (le déblocage se fait en plusieurs fois, et les problèmes reviennent inchangés le lendemain). Elle sent en permanence dans son ventre comme une bulle d'air, qui fait des bruits de "tuyauterie" (audibles), elle a des gaz qui remontent. L'ensemble lui paraît être un problème de tuyauterie et de blocage d'air. Ce n'est pas source de douleurs aiguës, mais d'une gêne, d'un sentiment de "bouchon" permanent. Bien sûr, il y a aussi les effets de la constipation (et des "efforts" à fournir) : saignements occasionnels, par exemple.
Par ailleurs, tout cela est connecté (et c'est là un problème qu'aucun médecin n'a jamais pris en compte) au cycle menstruel. Elle a souvent remarqué que la constipation se débloquait en même temps que la survenue des règles, et que la constipation était susceptible de repousser les règles (retard de 15 jours), même si je ne suis pas sûr qu'en cette période de crise cela se vérifie encore.
Tout cela, je l'ai dit, semble en outre connecté à tous les autres systèmes du corps : système nerveux (fatigue, problèmes de concentration), système génital (règles, candidose), système rénal, problèmes de peau et de pertes de cheveux, système endocrinien (thyroïde), etc.
Résultat en cette période de crise, elle a (re)commencé à parler de suicide. Les deux dernières années ont été particulièrement difficiles (sur le plan médical, mais professionnellement ça a été tendu aussi). Elle ne supporte absolument plus l'absence d'écoute, d'empathie et (disons-le clairement) de compétence des médecins. La phrase "c'est le stress" la rend tarée. Aujourd'hui, elle souffrait, je lui ai dit de passer aux urgences demander des anti-douleurs, elle m'a répondu qu'elle ne voulait pas avoir à se justifier devant un personnel médical qu'elle sait incompétent et arrogant, et qu'elle préférait souffrir à la maison.
Ses parents, grands-parents et collègues manquent aussi d'empathie. Elle ne supporte pas qu'on lui donne pour conseils des astuces de grand-mère qu'elle a évidemment testées mille fois il y a cinq ans ("tu as pensé à manger des pruneaux ?", "et pourquoi tu ne testerais pas l'huile de paraffine, comme tu as fait il y a trois ans, avec à l'époque quelques résultats ?", etc.). Elle ne supporte pas qu'on ne lui donne pas de diagnostic, et donc qu'elle ne puisse pas faire valoir ses droits pour maladie longue. Elle ne supporte pas qu'un ami l'appelle trois fois pour la voir, après qu'elle lui a dit être malade. Evidemment, je dis parfois des conneries moi aussi. Elle rêve parfois qu'on lui diagnostique un cancer ou un sale truc qui fait peur, pour au moins être prise au sérieux. Il ne se passe pas un jour sans qu'on parle de sa maladie. Elle n'a plus aucune joie dans la vie, même si elle réussit à faire bonne figure en société. Et avec tout ça, elle réussit à travailler sur son doctorat...

Voilà.
J'ai certainement oublié de nombreux traitements, examens, douleurs, symptômes, mais j'ai fait de mon mieux pour me souvenir.

Toute réaction sera bonne à prendre. Merci.


mouniette
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Re: Problème de constipation devenu quasi-constant

Message par mouniette »

Bonjour.
Votre post date maintenant.
J aimerais savoir si un diagnostique à été posé ?
Je souhaiterais pouvoir échanger à ce sujet.
Merci.
bientotgueriejespere
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Re: Problème de constipation devenu quasi-constant

Message par bientotgueriejespere »

Pour ma part ce qui m'aide beaucoup c'est de manger de la pomme lorsque j'ai du mal à aller aux toilettes

On dit que c'est riche en fibre donc c'est peut être grace à ça ^^
https://umvie.com/pomme-constipation/
Rimae
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Re: Problème de constipation devenu quasi-constant

Message par Rimae »

chabiroux a écrit :Bonjour à tous et toutes.
Je voudrais raconter ici le calvaire par lequel passe ma femme depuis plusieurs années maintenant, en essayant de me rappeler de toute son histoire médicale. Elle souffre d'un problème centré autour de troubles de la digestion (mais en vérité beaucoup plus vaste) depuis plusieurs années. Cette maladie n'a jamais été diagnostiquée, et son état empire, lui rendant la vie de plus en plus difficile. Elle pense arrêter de travailler pour se consacrer à sa santé. Je vais exposer tout cela, en essayant de montrer l'évolution.

Symptômes
Quand je l'ai rencontrée, en 2006-7, elle était en parfaite santé (elle avait 20 ans). Je précise qu'elle a de lourds antécédents de diabète dans la famille (père, grands-parents paternels), mais pas vraiment de problèmes intestinaux (sa grand-mère, peut-être, il y a quelques années).
Ses problèmes ont commencé en 2009, pendant une année assez difficile sur le plan universitaire (master), administratif (on lui a refusé un visa) et médical (douleurs au niveau du rein droit, mais que les médecins n'ont pas pu diagnostiquer). Tout semble s'être déclenché au moment du refus de visa, et l'année qui a suivi a été difficile, là encore pour des raisons administratives (liées à l'université).
Depuis, ses problèmes de rein ont disparu, mais s'est installé progressivement un problème de constipation. Y a-t-il eu une période de pause entre les deux ? Je ne me souviens plus.
En tout cas, début 2014, elle a décidé d'arrêter la pilule après 6 ans de prise, pensant que ça pouvait avoir un rapport avec ses problèmes (qui ont commencé à ce moment-là à devenir sérieux pour moi, c'est pour cela que je me souviens de la date). On lui a diagnostiqué un problème de hernie au niveau de l'estomac. Elle a commencé à souffrir d'acné (elle qui n'en avait jamais eu), de règles douloureuses, irrégulières et abondantes (ça n'avait jamais été le cas), de constipation, de problèmes de concentration (là encore, nouveau symptôme), de fatigue, etc.
Elle a dû voir depuis trois ans une trentaine de médecins de tous les types : gastro-entérologues, gynécos, internistes, généralistes, homéopathes, ostéopathes, néphrologues, et j'en passe, pour entendre à chaque fois les réponses que vous connaissez tous et toutes : "c'est le stress", "bah, vous exagérez", "buvez plus d'eau", "allez voir un psy", "faites du yoga".
Elle a bouffé tous les types de médicaments, suivi tous les trucs de grand-mère, pris des compléments alimentaires à 500 € le mois et non remboursés, des trucs homéopathiques, des fibres naturelles, du psyllium, de l'huile de paraffine, des pruneaux, des compléments en magnésium, des laxatifs naturels/chimiques, mangé moins de fruits, mangé plus de fruits, bu moins d'eau, bu plus d'eau, etc., etc., etc. Elle a essentiellement pris des produits naturels ou homéopathiques. Sans y croire d'ailleurs, simplement parce qu'il fallait prendre quelque chose et qu'on ne lui proposait rien d'autre.
On lui a diagnostiqué la candidose (à tous les étages, vaginale, buccale, dans tout le tube digestif), qu'elle a traitée à coups de médicaments, de trucs à insérer dans le vagin, de régimes, et qui est toujours revenue. On lui a aussi diagnostiqué une intolérance au lactose.
Elle a suivi de nouveaux régimes : pendant un temps sans oeuf, puis elle a repris, le régime sans gluten (amélioration qui a duré un mois, avant que tout ne reprenne, mais elle a n'a pas repris), le régime sans sucre (ni fruits, ni pâtes, ni pain, ni farine, ni riz, ni patates, ni féculents, pendant plusieurs mois), elle a arrêté les champignons, le lactose, le gluten. De toute façon, elle ne mange plus grand-chose.
Récemment, elle a commencé à prendre un médicament (Natrum muriatricum), prescrit deux fois par mois par son médecin, à base de sel, qui lui a débloqué les intestins (en tout cas, les deux premières fois, pas la troisième), mais a semble-t-il provoqué des effets non désirés au niveau des reins. En tout cas, des sensations lui venues dans le rein, pas des douleurs mais le sentiment que quelque chose s'y passait. Mais on ne lui a rien diagnostiqué non plus de ce côté-là.
Pendant un temps, les bains chauds apaisaient la douleur. Ce n'est plus le cas.
On a testé sa thyroïde, mais les résultats ne sont pas très probants, bien qu'on observe une baisse de TSH (légère). Elle a aussi des problèmes de pertes de cheveux ou d'ongles cassants, qui sont assez caractéristiques de l'hypothyroïdie. On lui a d'ailleurs diagnostiqué un Hashimoto, mais peut-être est-ce un autre type d'hypothyroïdie ? Elle voudrait commencer bientôt un traitement pour la thyroïde, mais elle attend d'être sûre d'avoir identifié le problème. Une énième doctoresse avait souscrit à cette lecture, et expliqué que ses problèmes de fatigue étaient dus à la surmobilisation de son système hormonal (surproduction d'hormones inefficaces), qui puisaient dans ses réserves. Elle est donc passée à de la micronutrition, qui au vu du prix (non remboursé) et de l'absence d'effets a paru être un peu une arnaque.
Pour finir, je voudrais parler de ses symptômes au niveau de la constipation. En temps "normal", elle passe trois ou quatre heures assises sur une chaise à enchaîner les cafés (elle doit en boire deux ou trois) et à passer aux toilettes (en urgence !), pour que le tout se vide. Sa constipation s'est aggravée depuis quelques semaines, où elle vit en situation de crise permanente (de blocage). Elle boit encore plus de café (4 ? 5 ?), mais rien n'y fait. Elle évite de prendre des laxatifs "durs" (forts), pour éviter l'accoutumance, mais doit y céder plusieurs fois par mois. Elle constate d'ailleurs déjà une baisse de l'effet des laxatifs (le déblocage se fait en plusieurs fois, et les problèmes reviennent inchangés le lendemain). Elle sent en permanence dans son ventre comme une bulle d'air, qui fait des bruits de "tuyauterie" (audibles), elle a des gaz qui remontent. L'ensemble lui paraît être un problème de tuyauterie et de blocage d'air. Ce n'est pas source de douleurs aiguës, mais d'une gêne, d'un sentiment de "bouchon" permanent. Bien sûr, il y a aussi les effets de la constipation (et des "efforts" à fournir) : saignements occasionnels, par exemple.
Par ailleurs, tout cela est connecté (et c'est là un problème qu'aucun médecin n'a jamais pris en compte) au cycle menstruel. Elle a souvent remarqué que la constipation se débloquait en même temps que la survenue des règles, et que la constipation était susceptible de repousser les règles (retard de 15 jours), même si je ne suis pas sûr qu'en cette période de crise cela se vérifie encore.
Tout cela, je l'ai dit, semble en outre connecté à tous les autres systèmes du corps : système nerveux (fatigue, problèmes de concentration), système génital (règles, candidose), système rénal, problèmes de peau et de pertes de cheveux, système endocrinien (thyroïde), etc.
Résultat en cette période de crise, elle a (re)commencé à parler de suicide. Les deux dernières années ont été particulièrement difficiles (sur le plan médical, mais professionnellement ça a été tendu aussi). Elle ne supporte absolument plus l'absence d'écoute, d'empathie et (disons-le clairement) de compétence des médecins. La phrase "c'est le stress" la rend tarée. Aujourd'hui, elle souffrait, je lui ai dit de passer aux urgences demander des anti-douleurs, elle m'a répondu qu'elle ne voulait pas avoir à se justifier devant un personnel médical qu'elle sait incompétent et arrogant, et qu'elle préférait souffrir à la maison.
Ses parents, grands-parents et collègues manquent aussi d'empathie. Elle ne supporte pas qu'on lui donne pour conseils des astuces de grand-mère qu'elle a évidemment testées mille fois il y a cinq ans ("tu as pensé à manger des pruneaux ?", "et pourquoi tu ne testerais pas l'huile de paraffine, comme tu as fait il y a trois ans, avec à l'époque quelques résultats ?", etc.). Elle ne supporte pas qu'on ne lui donne pas de diagnostic, et donc qu'elle ne puisse pas faire valoir ses droits pour maladie longue. Elle ne supporte pas qu'un ami l'appelle trois fois pour la voir, après qu'elle lui a dit être malade. Evidemment, je dis parfois des conneries moi aussi. Elle rêve parfois qu'on lui diagnostique un cancer ou un sale truc qui fait peur, pour au moins être prise au sérieux. Il ne se passe pas un jour sans qu'on parle de sa maladie. Elle n'a plus aucune joie dans la vie, même si elle réussit à faire bonne figure en société. Et avec tout ça, elle réussit à travailler sur son doctorat...

Voilà.
J'ai certainement oublié de nombreux traitements, examens, douleurs, symptômes, mais j'ai fait de mon mieux pour me souvenir.

Toute réaction sera bonne à prendre. Merci.
Bonjour,

A bout de forces moralement et physiquement, je me reconnais parfaitement dans la description que vous faites de votre femme. Avez-vous reçu un diagnostique ? Pouvez-vous me répondre je vous en prie.

En espérant que ce soit de l'histoire ancienne pour elle...
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