Dans le domaine des maladies rares, un variant non publié est un variant invisible.
Et ce qui est invisible... ne peuvent pas être étudiées, comparées ou reliées à d’autres cas dans le monde.
Pourtant, tout commence là :
• collaboration entre équipes de recherche,
• l’identification d’autres patients similaires,
• et parfois l’ouverture de voies thérapeutiques prometteuses.
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Un variant génétique identifié en novembre 2022 dans un hôpital français, associé à un trouble neurodéveloppemental rare, est resté inédit depuis plus de trois ans.
Non pas par manque de volonté, mais par manque de ressources humaines dédiées :
• aucun temps de soumission n’est alloué,
• pas de procédure rationalisée,
• les analyses quotidiennes prioritaires.
En conséquence :
Ce cas n’est pas isolé. Cela reflète une réalité systémique.
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Le laboratoire impliqué a officiellement confirmé que le variant sera soumis —
mais dans un délai d’un an, faute de ressources suffisantes pour achever le processus plus rapidement.
Il est important de souligner :
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Entre 2022 et 2025, d’autres cas similaires ont été identifiés dans plusieurs centres en France et à l’étranger.
Mais sans publication, ils ne peuvent pas être reliés.
Et dans les maladies ultra-rares, relier les cas est primordiale.
Chaque soumission aide à :
• affiner les diagnostics,
• éviter les errances médicales,
• stimuler des collaborations,
• et parfois poser les bases de traitements futurs.
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Les hôpitaux font de leur mieux avec les ressources dont ils disposent.
Mais la publication de variants génétiques doit devenir une priorité nationale.
Parce que soumettre une variante n’est pas « juste un travail administratif ».
C’est vrai:
Dans les maladies génétiques rares, chaque point de données compte.
Et chaque année gagnée peut vraiment changer une vie.
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